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L’art thérapie “le tango” pour les malades de Parkinson
Depuis quelques années, la prise en charge des malades de Parkinson est enrichie par les ateliers de danse-thérapie. Quels en sont les bénéfices ? Reportage dans le cours de tango de Charlotte Millour, destiné au personnes en situation de handicap physique. A l’espace André Malraux, situé dans le 6e arrondissement à Paris, le vendredi, c’est tango argentin. Une petite dizaine de participants, seuls ou en couple, arrivent progressivement : dans une salle située au rez de chaussée les chaises sont disposées le long des murs. Les premières mesures de musique résonnent déjà, et l’ambiance a tout d’une milonga classique. Et pourtant, c’est un cours un peu particulier : il est destiné aux personnes avec…
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Témoignage: L’activité physique pour contrer les effets de la maladie de Parkinson “Le Tango”
L’exercice physique peut aider les personnes qui souffrent de la maladie de Parkinson à mieux contrôler leurs mouvements. C’est pourquoi une Winnipégoise de 75 ans a décidé de danser pour contrer la maladie. Chaque jour au Canada, 25 personnes reçoivent le diagnostic de la maladie de Parkinson. Si aucun traitement ne peut soigner cette maladie neurologique dégénérative, certains médicaments peuvent atténuer les symptômes caractérisés par des tremblements et une raideur musculaire. Marilyn Nadolsky, elle, a choisi le tango. « Quand on pense à la danse, on ne pense à rien d’autre, affirme-t-elle. Je n’ai pas de problèmes avec mes pieds quand je danse. » Depuis trois ans, Marilyn Nadolsky et son mari, Nestor, sont des…
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Les bienfaits de la danse dans la maladie de Parkinson
INFOGRAPHIE – Sans que l’on sache pourquoi, cette activité physique agit sur de nombreux symptômes de la maladie de Parkinson. «La danse classique m’a donné, sans que je puisse y résister, l’envie de bouger à nouveau, l’envie de bouger plus mais aussi le moyen d’y parvenir.» Tony, 67 ans, l’un des premiers participants aux ateliers Dance for Parkinson mis en place par l’École nationale de ballet du Canada, à Toronto, s’était laissé abattre complètement lorsque les symptômes moteurs de la maladie étaient devenus trop «incontournables et apparemment inévitables». Il a désormais repris toutes ses activités d’avant: «Je suis moins efficace mais j’y prends à nouveau plaisir et, surtout, j’ai retrouvé…